Politique climatique de la France et électricité
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Finistère ,D'autres projets sont répertoriés dans le petit hydraulique,
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/transition-energetique-un-nouvel-outil-pour-les-porteurs-de-projets-31-03-2018-11908055.php#BKmfXBJR7LYfAPtM.99
Cinq partenaires ont signé, vendredi, l'acte de naissance d'Énergies en Finistère. Cette société mixte a été initiée par le Syndicat d'énergie et d'équipement du Finistère avec quatre banques : la Caisse des dépôts, le Crédit agricole, le Crédit mutuel Arkéa et la Caisse d'épargne.
A lire sur :
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/transition-energ
Une vaste évaluation française pointe la dégradation des milieux humides
Selon le CGDD, la moitié des zones humides françaises a disparu entre 1960 et 1990. Un chiffre proche de ceux rapportés pour l'Europe et l'Asie centrale par la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services éco-systémiques (IPBES), selon laquelle 51% des zones humides ont disparu depuis 1970. "Cette disparition est en partie due à l'urbanisation et aux nombreux drainages de terres, dans le but d'améliorer la régularité des productions céréalières, ou encore pour transformer des prairies en grandes cultures", rapporte le CGDD qui a toutefois constaté "un ralentissement de cette régression depuis 1990" . Laurent Radisson Journaliste : Rédacteur en Chef délégué aux marchés HSE
à lire sur https://www.actu-environnement.com/ae/news/milieux-humides-france-degradation-efese-30944.php4
Proposition de loi sur les moulins
Le 7 mars, j'ai déposé une proposition de loi visant à assurer la protection et la capacité hydroélectrique des moulins. Il me semble nécessaire de se pencher sur cet enjeu, et ce, d'autant plus que les moulins ont un potentiel économique, écologique et touristique très intéressant.
En effet, selon le Conseil général de l'environnement, sur les 19 000 moulins que compte le pays, 3 400 présentent un fort enjeu patrimonial. Or, une grande majorité de ces édifices subsistent grâce au savoir-faire et à l'engagement de leurs propriétaires. Leur entretien représente, néanmoins, une charge importante en rapport à l'utilisation qui en est faite.
Il s'avère que les moulins sont, actuellement, largement sous-exploités. En effet, en 2011, l'Union française de l'électricité évaluait le potentiel énergétique hydraulique des moulins comparable à celui de grands fleuves tels le Rhône ou le Rhin. Ce potentiel énergétique exploitable apparaît particulièrement intéressant dans le contexte actuel de transition énergétique qui pourrait ainsi être relancé par l'hydroélectricité. Ces édifices pourraient davantage être mis à contribution, et ce, afin de produire une énergie propre pour un coût de production très bas. Il apparait donc nécessaire d'équiper en hydroélectricité les édifices actuels et particulièrement les anciens moulins.
Véronique LOUWAGIE | Lettre du Député - N°068 | Mars 2018 |

Lettre à Edouard Philippe sur les barrages et lacs de la Sélune
Après l'interpellation de Nicolas Hulot par 100 élus locaux, Hydrauxois, les Amis des barrages ainsi que 50 élus et associations ont choisi de saisir le Premier Ministre sur la destruction des barrages et lacs de la Sélune. Les signataires appellent à un ré-examen du dossier dont le caractère conflictuel et contesté rend impossible un choix serein pour l'avenir de la vallée. La disparition des barrages et lacs présenterait une somme considérable d'inconvénients pour des bénéfices très faibles. Ce n'est pas ce que nous attendons d'un gouvernement élu sur la promesse d'un usage responsable de l'argent public et d'une écoute des citoyens exaspérés par les décisions hors-sol des politiques.
Sur :http://www.hydrauxois.org/


Le vannage n’est pas en ruine
Le vannage de la Belle Meunière menacé à Saint-Georges-sur-Eure
Le propriétaire du moulin avait obtenu, au tribunal administratif, en février 2017, l’annulation de l’arrêté préfectoral. Pour les juges, la démolition du vannage ne se justifiait pas, ce n’est pas la ruine décrite par la mairie, « sous réserve de réaliser des travaux de restauration de faible ampleur ».
Le vannage n’est pas en ruine
La cour administrative d’appel de Nantes vient de confirmer cette annulation de l’arrêté préfectoral. Elle constate de nouveau que « si l’administration soutient qu’une reconstruction complète des installations est nécessaire, elle ne produit toutefois aucun élément de nature à établir le bien-fondé d’une telle allégation ».
Certes, la roue du moulin ne tourne plus depuis belle lurette, mais c’est parce qu’en 1968, l’ancien propriétaire avait fait don du vannage à la commune : « Cette donation ne s’est toutefois accompagnée d’aucun transfert du droit d’eau attaché au moulin ». Et Jean-Claude Gamain « a depuis plusieurs années le projet d’utiliser une turbine lui permettant de produire de l’électricité ».
La cour d’appel condamne l’État à verser 1.500 € au propriétaire du moulin pour ses frais de justice. Mais l’eau peut continuer de couler sous les ponts : le Conseil d’État peut encore être saisi dans les deux mois.
Guillaume Frouin ; l’Echo Républicain
à lire sur http://continuite-ecologique.fr/droit-deau-la-justice-remet-encore-une-fois-les-pendules-a-lheure/

Patrimoine-Environnement soutient la Nuit des églises 2018
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Dans le cadre du Débat Public sur la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE)
Rappelons que, dans le cadre du débat public sur la programmation pluriannuelle de l’énergie, le grand public sera consulté et amené à donner son avis sur les énergies renouvelables qu’il souhaite voir grandir dans le mix énergétique des dix ans à venir.
- de la presse régionale et des leaders d’opinion régionaux (élus, administrations, etc.),
- de la presse nationale,
- du Gouvernement.